Le Front national aime bien faire croire que, après avoir pendant des décennies craché sur les "assistés" et autres miséreux, il aurait désormais la fibre sociale. Mais à peine arrivé aux commandes d’une municipalité, les premières mesures prises sont dirigées contre les plus démunis.
Lors (…)
Articles liés
- Extrême droite institutionnelle Le Pontet (84) : avec le FN, les pauvres vont se serrer la ceinture
- Extrême droite institutionnelle Allemagne : L’avenir allemand dans l’impasse
Le samedi 7 juin, les néonazis allemands avaient prévu de défiler à plusieurs centaines à Dresde, dans le cadre d’une manifestation pompeusement baptisée Tag der deutschen Zukunft ( TddZ , Journée de l’Avenir allemand). Organisée pour la sixième année consécutive, elle avait lieu cette fois-ci (…)
- Extrême droite institutionnelle Allemagne : Des nouvelles de l’Alternative für Deutschland (AfD)
Comme le répètent ses fonctionnaires et ses adhérents un peu à la façon d’un mantra, l’AfD n’est ni conservatrice ni libérale, on ne peut la classer ni à droite ni à gauche. Et pourtant, des derniers jours, le « parti du bon sens » comme aime à le décrire son dirigeant Bernd Lucke, a intégré le (…)
- Extrême droite institutionnelle Béziers, radiographie d’une ville sous influence
Le site antiraciste Mémorial 98 inaugure sur son site une nouvelle rubrique consacrée aux municipalités gagnées par les listes FN ou RBM lors des dernières élections municipales. Elle a commencé cette semaine par la ville emportée par Robert Ménard, qui, bien qu’il prétende prendre ses distances (…)
- Extrême droite institutionnelle Un « national-bolchévique » au collectif Racine
En octobre 2013, nous avions parlé ici du collectif Racine, cette tentative du Front national de se réconcilier avec les enseignants, en les caressant dans le sens réac du poil, après avoir conspué pendant des décennies ces "gauchistes grévistes et feignants". Le blog du Monde Droite(s) (…)